La pouponnière.

Le petit chaton était collé à ces soeurs. Leur mère semblait fatiguée. Le petit chat sentit la langue râpeuse de sa mère passait sur son oreille. La douce chaleur de ces soeurs le réchauffée. Il poussa un miaulement pour montrer sa faim, espérant que sa mère comprendrait. Ses petits yeux commençaient à s'ouvrir. Une lumière l'aveugla, c'était celle du jour. Une ombre cacha la lumière qui l'aveuglait. Sa soeur, Petite Abeille gémissait. Était-ce la lumière jaunâtre ? Non. Le jeune chaton gémit à son tour. Ses petits yeux bleus s'ouvrirent.

Coeur de Cerises rentra dans la pouponnière. Sa soeur était allongeait avec 3 petits chatons. Elle s'allongea elle aussi pour voir de plus près les petits chatons. Ils commençaient à ouvrir leurs yeux.

<< Tu leur à choisis un nom ? >> dit-elle avec gentillesse.

Sa soeur lui montra le chaton noir et blanc et dit :

<< Celui est Petit Galet >> dit-elle en posant sa queue sur la tête sur petit.
<< Celle-ci est Petite Abeille >> dit-elle posant sur la petite chatte rousse sable << Et celle-ci ce nomme Petite Cerise, elle te ressemble vraiment >>

Etoile de Jais rentra dans la taniere. Il vit 3 petits chatons. Un noir comme lui, un roux comme leur mere et un roux foncer comme sa Lieutenant. Se pouvait-il qu'il soit le pere ?

<< Coucou. Sa va?>> miaula-t il

Etoile de Sable dressa les oreilles. Elle était étonnée de le voir. La meneuse lécha le pelage ébouriffé de Petite Abeille. La chatte ajouta :

<< Oui..>> dit-elle.

Le petit chat tendit les oreilles et essaya de se lever. Il miaula. Le petit chaton retourna auprès de sa mère.

Etoile de Jais fixa les chatons. Il devait etre le pere sinon comment expliquer le poil noir d'un des chatons. Il dit :

<< Je viens pour te dire que j'accepte mes responsabilites de pere. >>


Ses paroles lui serra le coeur.

Etoile de Sable baissa les yeux, inquiète.

<< Tu n'es pas obliger. >> dit-elle. << Je un peu exagéré, je t'ai forcé mais maintenant, le choix t'appartient.>>

Etoile de Jais haussa les epaules. Il repliqua :

<< Si tu penses que je dis parce que tu m'as obliger, je ne saurais que penser. >>